Les diagnostics en marchant ont repris le chemin des quartiers.
Les diagnostics en marchant ont repris le chemin des quartiers. A commencer le 29 septembre par le Puits-la-Marlière qu'ont arpenté le maire, Jean-Louis Marsac, l'adjointe au maire déléguée au quartier, Géraldine Medda, des techniciens de la Ville, des représentants du bailleur et du Sigidurs, et de nombreux habitants.
Au programme de ce diagnostic, plusieurs points. Notamment les problématiques liées aux déchets. Elles ont des conséquences bien visibles au PLM : des poubelles sorties mais non rentrées ou mal placées et qui gênent les riverains, la présence de rats (une grande opération de dératisation est d'ailleurs en cours actuellement) et des points d'encombrants non ramassés, comme ont pu encore le constater les participants le 29 septembre. Une discussion a été ouverte avec le Sigidurs pour réformer le système de ramassage des encombrants, ramassage qui est parfois perturbé par le mauvais stationnement de certains véhicules qui empêche le camion de passer.
Autre point noir visité par le maire le 29 septembre : la “grotte”, c'est-à-dire le passage couvert qui donne accès à l'école maternelle Henri-Wallon depuis l'avenue du 8-mai-1945. Régulièrement squatté, il est devenu un point de deal. L'endroit est désormais particulièrement surveillé par les équipes de la police municipale et nationale. Comme l'a rappelé le maire, il est voué à disparaître, dans le cadre du renouvellement urbain du quartier. En attendant, des mesures vont être prises pour chasser les squatteurs.
Le 7 octobre, ce fut le tour du quartier des Carreaux d'accueillir le maire, Jean-Louise Marsac, l'adjointe de quartier des Carreaux et des Charmettes, ainsi que les représentants des trois bailleurs présents aux Carreaux et de nombreux habitants.
Au fil de ce diagnostic sont évoqués les problèmes d'entretien des espaces verts, des dépôts sauvages, notamment aux pieds des bornes d'apport volontaire, les problématiques liées au stationnement (stationnement devant un portail désaffecté, voitures ventouses, problématique liée aux manques de places), certains aménagements urbains vieillissants devenus dangereux et même le squat de certaines aires de jeux.
Autre point évoqué : le futur chantier d'agrandissement du lycée Pierre-Mendès-France, qui devra entraîner la coupe de certains arbres (mais le même nombre d'arbres sera remplanté dans les parcs environnants) et le succès rencontré par le jardin partagé des Carreaux.
Jeudi 14 octobre, le maire, l'adjoint du quartier, Léon Edard, et les représentants de plusieurs bailleurs, ainsi que des services de la Ville, ont arpenté le Village à l'occasion du diagnostic en marchant du quartier.
Ont été pointés notamment quelques problématiques liées à des poubelles qui débordent ou non rentrées, du squat, la sécurisation de certains bâtiments en péril, l'entretien de certaines copropriétés, certains stationnements gênants et les travaux entrepris par les bailleurs.
Mercredi 20 octobre, l'équipe municipale, Jean-Louis Marsac et l'élue du quartier en tête, est partie arpenter les rues des Charmettes, accompagnée de plusieurs habitants, ainsi que de techniciens de la Ville. Dans ce quartier très pavillonnaire, les problématiques signalées sont différentes : poubelles non rentrées, stationnement dangereux, poteaux dégradés, maisons en suroccupation ou louées illégalement, infraction à l'urbanisme...
Denier diagnostic ce vendredi 22 octobre, au matin. Dans les rues de la Cerisaie et de Derrière-les-Murs-de-Monseigneur, le maire, Jean-Louis Marsac, l'adjointe de quartier, Géraldine Medda, les techniciens de la Ville, de CDC Habitat et du Sigidurs, ainsi que quelques habitants ont pu constater certaines infractions : au stationnement notamment, nombreux étant les véhicules garés sur les voies de circulation, quelques containers sur les trottoirs ou quelques sacs poubelles déposés à côté des bornes d'apport volontaire. L'occasion aussi de constater l'avancée des travaux de rénovation menés au DLM par les bailleurs.
