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Mis à jour le 24 décembre, par la Mairie de Villiers-le-Bel

De nombreux dispositifs de prévention et/ou de dépistage sont ouverts à celles et ceux qui en ont besoin : quel que soit votre âge et votre état de santé aujourd'hui, préservez votre santé pour demain en vous tenant informés

Mieux vaut prévenir

Moyen le plus sûr et le plus efficace pour se protéger de la grippe, la vaccination a débuté

La campagne 2018 de vaccination contre la grippe saisonnière qui a débuté le 6 octobre 2018 se poursuit jusqu'au 31 janvier 2019. Elle bénéficie cette année d'une procédure simplifiée pour les personnes à risque.

Qui est concerné ?

La grippe est une maladie particulièrement dangereuse pour les personnes fragiles. Elle touche chaque hiver entre 2 et 8 millions de personnes et est responsable de nombreuses hospitalisations et décès, en particulier chez les personnes à risque, comme :
    •    les personnes âgées ou atteintes de certaines maladies chroniques ;
    •    les femmes enceintes ;
    •    les personnes obèses dont l'IMC est supérieur ou égal à 40 ;
    •    les nourrissons.

Des complications peuvent alors apparaître, telles que :

  • une infection pulmonaire bactérienne grave (ou pneumonie) ;
  • une aggravation d'une maladie chronique déjà existante (diabète, bronchopneumopathie chronique obstructive, insuffisance cardiaque...).

La vaccination antigrippale représente le moyen le plus efficace de prévention de la grippe saisonnière. Elle réduit le risque de complications graves et de transmission du virus. Le rapport bénéfice/risque est en faveur de l'acte vaccinal : peu, voire pas, d'effets secondaires (le plus souvent des réactions locales légères et transitoires, plus rarement des effets systémiques bénins tels que de la fièvre, des douleurs musculaires ou articulaires, des céphalées, des malaises), alors que la diminution du nombre de décès grâce à la vaccination est importante (environ 2 000 décès évités en moyenne chaque année chez les personnes âgées).

Qui peut bénéficier de la gratuité du vaccin ?

Toutes les personnes majeures éligibles à la vaccination, déjà vaccinées précédemment ou non, bénéficient désormais d'une procédure simplifiée. Si vous êtes concerné (personnes âgées de 65 ans et plus ou atteintes de certaines maladies chroniques, femmes enceintes, personnes obèses, entourage familial des nourrissons à risque de grippe grave), vous recevez de votre caisse d'Assurance Maladie une invitation et un bon de prise en charge qui vous permettent de retirer gratuitement le vaccin chez le pharmacien et de vous faire vacciner par le professionnel de votre choix. Les personnes de moins de 18 ans doivent bénéficier d'une prescription médicale préalable à la vaccination.

Si vous êtes éligible mais que vous n'avez pas pu être identifié et invité par l'Assurance Maladie, votre médecin, votre sage-femme ou votre pharmacien pourront vous délivrer un bon de prise en charge vous permettant d'obtenir gratuitement le vaccin. Le vaccin antigrippal est pris en charge à 100 % et l'injection est quant à elle prise en charge dans les conditions habituelles, sauf pour les patients pris en charge à 100 % au titre d'une des ALD (affections de longue durée) concernées.

Qui peut vous vacciner contre la grippe ?

Dans le cadre de l'élargissement de l'offre vaccinale et de la simplification du parcours, les compétences des différents professionnels de santé impliqués dans la vaccination contre la grippe ont été élargies. Ainsi, sont désormais habilités à vacciner :
    •    les médecins ;
    •    les infirmier(e)s (sauf pour les personnes présentant des antécédents de réaction allergique sévère à l'ovalbumine ou à une vaccination antérieure, selon un arrêté du 25 septembre 2018 ; un décret du 25 septembre 2018 permet par ailleurs aux infirmiers de vacciner les personnes n'ayant encore jamais été vaccinées contre cette maladie) ;
    •    les sages-femmes (pour les femmes enceintes et l'entourage des nourrissons de moins de 6 mois) ;
    •    les pharmaciens autorisés participant à l'expérimentation dans les régions Auvergne-Rhône-Alpes, Nouvelle Aquitaine, Hauts-de-France, Occitanie pour la vaccination des personnes majeures (sauf pour les personnes présentant des antécédents de réaction allergique sévère à l'ovalbumine ou à une vaccination antérieure).

À savoir :

Conformément aux recommandations de l'Organisation mondiale de la santé, le vaccin grippal 2018 contient les virus suivants :

  • un virus de type A/Michigan/45/2015 (H1N1) pdm09 ;
  • un virus de type A/Singapore/INFIMH-16-0019/2016 (H3N2) ;
  • un virus de type B/Colorado/06/2017 (lignée B/Victoria/2/87) ;
  • un virus de type B/Phuket/3073/2013 (lignée B/Yamagata/16/88).

Il faut aussi adopter les bons gestes

Pour se protéger et protéger son entourage, il est essentiel que chacun mette en place, dès que les virus grippaux circulent, des gestes simples destinés à limiter la transmission des virus :
• se laver les mains régulièrement, avec de l'eau et du savon ou avec une solution hydroalcoolique ;
• se couvrir la bouche en cas de toux ou d'éternuement ;
• utiliser un mouchoir en papier à usage unique, etc.

Pour les personnes malades :
• porter un masque ;
• limiter les contacts avec les personnes fragiles ou malades.
L'efficacité de chacune de ces mesures (vaccination et gestes barrières) est optimisée en les combinant. Cela permet de constituer un bouclier sanitaire.

Rappel :

La saison grippale 2017 en chiffres :
    •    4 mois d'épidémie (du 4 décembre 2017 au 25 mars 2018). L'épidémie s'est propagée sur tout le territoire métropolitain en quelques semaines ;
    •    2,4 millions de consultations ;
    •    75 467 passages aux urgences, dont 9 738 hospitalisations (13 %) ;
    •    2 915 cas graves admis en réanimation signalés, dont 490 décès ;
    •    13 000 décès attribuables à la grippe ;
    •    une couverture vaccinale de 45,6 % chez les personnes à risque.

Et aussi sur service-public.fr
• Vaccin contre la grippe saisonnière

Pour en savoir plus
• La vaccination contre la grippe saisonnière (campagne 2019)

L'assurance Maladie a mis en place un dispositif d'Aide à l'acquisition d'une couverture maladie complémentaire (ACS)

Cette aide pour l'acquisition d'une assurance complémentaire santé, dite ACS, consiste en une réduction forfaitaire sur le montant de la cotisation (ou prime) annuelle à payer à un organisme complémentaire de santé (par exemple, une mutuelle).
Consulter le dossier qui comprend : http://www.info-acs.fr
•    Une présentation de l’ACS
•    Les informations pratiques pour remplir le dossier
•    La liste des pièces justificatives à produire
•    Le formulaire à compléter

Même (surtout) en hiver, pensez à changer d'air

Intoxications au monoxyde de carbone : l’ARS Île-de-France appelle à la prudence

L’Île-de-France est la région la plus touchée par les intoxications au monoxyde de carbone. Le monoxyde de carbone reste en France la première cause de mort toxique accidentelle. Cette intoxication affecte aussi bien les individus isolés que les groupes (famille).

À l’approche de l’hiver, l’ARS rappelle les conseils de prévention pour se protéger du risque d’intoxication au monoxyde de carbone.

Pour aller plus loin :https://www.iledefrance.ars.sante.fr/monoxyde-de-carbone-1

Le monoxyde de carbone : 5 conseils pratiques

Source ARS et INPES : http://www.ars.iledefrance.sante.fr

1- Avant l’hiver, faire systématiquement intervenir un professionnel qualifié pour contrôler les installations
•    Faire vérifier et entretenir chaudières, chauffe-eau, chauffe-bains, inserts et poêles. Il est recommandé de signer un contrat d’entretien garantissant une visite annuelle de prévention (réglage, nettoyage et remplacement des pièces défectueuses).
•    Faire vérifier et entretenir les conduits de fumées (par ramonage mécanique) chaque année. Le conduit de cheminée doit être en bon état et raccordé à la chaudière. Il doit déboucher loin de tout obstacle qui nuirait à l’évacuation des fumées.

2- Toute l’année et particulièrement pendant la période de chauffe, assurer une bonne ventilation du logement :
•    Aérer le logement tous les jours pendant au moins 10 minutes, même quand il fait froid.
•    Ne pas obstruer les entrées et sorties d’air (grilles d’aération dans les cuisines, salles d’eau et chaufferies principalement).
Si une pièce est insuffisamment aérée, la combustion au sein des appareils sera incomplète et émettra du monoxyde de carbone.

3- Utiliser de manière appropriée les appareils à combustion :
•    Ne jamais faire fonctionner les chauffages d’appoint en continu. Ils sont conçus pour une utilisation brève et par intermittence uniquement.
•    Respecter scrupuleusement les consignes d’utilisation des appareils à combustion (se référer au mode d’emploi du fabricant), en particulier les utilisations proscrites en lieux fermés (barbecue, groupe électrogène…).
•    Ne jamais utiliser pour se chauffer des appareils non destinés à cet usage : cuisinière, brasero…

4- Entretenir les appareils :
•    Nettoyer régulièrement les brûleurs de la cuisinière à gaz (on doit voir la flamme dans chaque orifice). S’ils sont encrassés, le mélange air-gaz ne s’effectue pas dans de bonnes conditions et le brûleur peut s’éteindre, notamment quand il est au ralenti. Une flamme bien réglée ne doit pas noircir le fond des casseroles.
 
5- En cas d’installation de nouveaux appareils (groupes électrogènes ou appareils à gaz) :
•    Ne jamais placer les groupes électrogènes dans un lieu fermé (maison, cave, garage…) : ils doivent impérativement être installés à l’extérieur des bâtiments.
•    S’assurer de la bonne installation et du bon fonctionnement de tout nouvel appareil à gaz avant sa mise en service et exiger un certificat de conformité auprès de l’installateur.

Que faire en cas d'accident ?

Maux de tête, nausées, malaises et vomissements peuvent être le signe de la présence de monoxyde de carbone. Les consignes de sécurité sont simples :
•    Aérer immédiatement les locaux en ouvrant portes et fenêtres.
•    Arrêter si possible les appareils à combustion.
•    Evacuer les locaux et les bâtiments.
•    Appeler les secours : le numéro unique d’urgence européen (112) ou les pompiers (18) ou le SAMU (15).
•    Ne réintégrer pas les lieux avant d’avoir reçu l’avis d’un professionnel du chauffage ou des Sapeurs-Pompiers.

Avoir de bonnes dents, c’est essentiel, et pas que pour avoir un "sourire dévastateur". Une bonne dentition permet de bien mâcher…et bien mâcher permet le plus souvent de bien digérer. Ce que l’on sait moins, c’est que l’hygiène dentaire a un lien avec notre santé globale.

La prévention mise en place pour les jeunes Beauvillésois

Une infection dentaire peut ainsi avoir des conséquences terribles sur les reins ou le cœur par exemple. Afin d’inciter un plus grand nombre d’enfants à participer au programme de prévention buccodentaire "M’T Dents", l’assurance maladie du Vald’Oise, en partenariat avec la Ville de Villiers-le-bel et l’Éducation nationale, dépiste et sensibilise tous les élèves de CM2 de la ville chaque année.

Une visite gratuite chez le dentiste

Dans un premier temps, un animateur de prévention se rendra dans chacune des classes pour une séance d’éducation à la santé bucco-dentaire. Il répondra aux questions les plus fréquentes : Ça sert à quoi les dents ? Comment poussent-elles ? Pourquoi le sucre est-il dangereux ? C’est quoi une carie ? À l’aide d’une brosse à dents et d’un dentier géant, il leur apprendra comment bien brosser ses dents et leur rappellera que le brossage est nécessaire au moins deux fois par jour. Enfin il remettra à chaque enfant un imprimé de prise en charge lui permettant d’aller chez le dentiste gratuitement, sans aucune avance de frais.

Séance de travaux pratiques
Quelques semaines plus tard, l’animateur reviendra voir les enfants et après leur avoir remis une brosse à dents et un tube de dentifrice, il les invitera à une séance de travaux pratiques.

Le programme M'T dents de l'assurance-maladie

Avec le programme M'T dents, l’Assurance-Maladie permet à tous les enfants et adolescents de 6, 9, 12, 15, 18, 21 et 24 ans de bénéficier d'un rendez-vous gratuit chez le chirurgien-dentiste et de soins, si nécessaire. Ce dispositif a été étendu aux femmes enceintes.

M'T dents : un rendez-vous de prévention tous les 3 ans de l'enfance à l'entrée dans l'âge adulte

C'est dès le plus jeune âge et pour toute la vie que se construit la santé bucco-dentaire. Les bonnes habitudes d'hygiène dentaire et la détection d'éventuelles caries permettent de garder des dents saines longtemps. Cela évite également de nombreux problèmes dentaires, parfois longs et coûteux, à l'âge adulte.

Tous les enfants sont invités, dès l'âge de 6 ans, puis tous les trois ans jusqu'à leur 24 ans, à se rendre chez leur chirurgien-dentiste pour un rendez-vous de prévention. Cet examen ainsi que les soins qui en découlent  sont gratuits.

En savoir plus :https://www.ameli.fr/assure/sante/themes/carie-dentaire/mt-dents

3 bons réflexes pour des dents saines longtemps

Votre enfant gardera ses dents toute sa vie. Même si ses dents de lait vont tomber, en cas de carie, elles peuvent contaminer la dent définitive qui pousse en dessous.

En donnant les bons réflexes à votre enfant dès le plus jeune âge, vous lui éviterez des soins longs et coûteux plus tard.

Limiter les sucreries et les boissons sucrées.
L’acidité des sodas et le sucre provoquent la destruction de l’émail des dents. C’est la première étape de la carie.

Lui faire se laver les dents au moins 2 fois par jour.
Effectuer au moins 2 brossages par jour, le matin et le soir au coucher, de la gencive vers la dent, pendant 2 minutes.

Changer sa brosse à dents tous les 3 mois
Une brosse à dents usée nettoie beaucoup moins bien et peut contenir des bactéries

Parce qu'il est important d'être vacciné et de mettre à jour ses vaccins régulièrement, parce que l'on se pose tous des questions sur la vaccination : pour qui ? pour quoi ? quand ? Informez-vous : consultez le  Calendrier vaccinal 2018-2019

Où en êtes-vous ?

  • Qu’est-ce que ça veut dire "être  à  jour" ?
    "Être à jour" c’est avoir reçu les vaccins recommandés en fonction de son âge et avec le bon nombre d’injections pour être protégé.
  • Si mes vaccins ne sont pas "à  jour"?
    Il n’est pas nécessaire de tout recommencer, il suffit de reprendre la vaccination au stade où elle a été interrompue. On parle de «rattrapage».

La vaccination permet de se protéger et de protéger les autres.

Le programme de dépistage organisé du cancer colorectal est destiné à toutes les personnes âgées de plus de 50 ans. Diagnostiqué tôt, il peut être guéri dans plus de 9 cas sur 10

Quand un cancer colorectal est dépisté très tôt, les chances de guérison dépassent les 90 %.
Le dépistage de masse maintenant organisé sur l’ensemble du territoire national, permet d’identifier précocement un cancer colorectal et d’améliorer ainsi significativement le pronostic vital du malade.

La fréquence élevée du cancer colorectal
Le cancer colorectal est le troisième cancer le plus fréquent dans la population française après le cancer de la prostate et le cancer du sein. En France environ 40 000 nouveaux cas sont diagnostiqués par an, avec un âge moyen de diagnostic supérieur à 65 ans.
Le cancer colorectal se guérit lorsqu'il est dépisté tôt.
Faites le test à votre domicile dès 50 ans puis tous les 2 ans.
Parlez-en avec votre médecin qui vous remettra le test gratuitement.

PSVO - Prévention et Santé en Val d'Oise
Dans le Val d'Oise un numéro gratuit à votre disposition :
N° vert 0800 332 357 (appel gratuit)

Une priorité de santé publique

La mise en place d’une politique nutritionnelle est apparue, au cours des dernières années, comme une priorité de santé publique en France.

Prévenir et réduire les risques
En effet, si l’inadaptation des apports alimentaires et de l’activité physique ne peut en règle générale être considérée comme la cause directe des maladies les plus répandues en France, il est bien reconnu qu’elle participe, d’une façon ou d’une autre, à leur déterminisme. Ces maladies (cancers, maladies cardiovasculaires, obésité, ostéoporose, diabète…) ont des conséquences dramatiques sur le plan humain, social et économique. 

Informer, s'informer, agir
Les travaux de recherche disponibles actuellement fournissent des informations scientifiques suffisamment fiables pour permettre d’identifier, de façon consensuelle, des facteurs nutritionnels impliqués dans le risque ou la protection vis-à-vis de certains grands problèmes de santé publique sur lesquels il est possible d’agir.

L'alimentation et l'activité physique
En agissant sur l’alimentation et l’activité physique, il est donc possible de réduire, à court terme, l’exposition à certains facteurs risque et de promouvoir certains facteurs de protection, en vue d’une réduction de la morbidité et à plus long terme de la mortalité.

L'adhésion de la Ville de Villiers-le-bel au PNNS

Sur ces bases, le Programme National Nutrition-Santé (PNNS), coordonné par le ministère de la Santé et auquel souscrit activement la Ville de Villiers-le-bel, a pour objectif général d'améliorer la santé de la tout un chacun par l'action sur le déterminant majeur que représente la nutrition.

Toutes les actions mises en oeuvre dans le cadre du PNNS ont ainsi comme finalité de promouvoir, dans l’alimentation et le mode de vie, les facteurs de protection et de réduire l’exposition aux facteurs de risque vis-à-vis des maladies chroniques et, au niveau des groupes à risque, de diminuer l’exposition aux problèmes spécifiques. Elles visent notamment à fournir l’indispensable à savoir une information cohérente et fiable en termes de recommandations nutritionnelles.

Don de sang

L'Amicale pour le Don de Sang Bénévole de Villiers-le-bel (ADSBVB) œuvre à l'organisation des collectes de sang organisées à Villiers-le-bel ainsi qu'à sensibiliser les potentiels donneurs quant à l'intérêt vital du don.

Vous vous sentez concernés par le don de sang bénévole, rejoignez l' Amicale pour le Don de Sang Bénévole de Villiers-le-Bel (ADSBVB)

Madame Laroche, présidente de l'association
Tél. : 06 77 89 00 60
Ou Monsieur Boulay
Mail : pat-boulay@orange.fr

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