Santé, sécurité domestique, protection, défense des victimes, ... les services qui vous sont dédiés
Police secours 17
Pompiers 18
SAMU 15
Centre Anti-Poisons
01 40 05 48 48
Pharmacie de garde
Si vous devez vous rendre dans une des pharmacies de garde en dehors des horaires d'ouverture, vous devez impérativement passer au préalable au Commissariat de police de Sarcelles et présenter une ordonnance (Tél. : 01 34 38 37 37 ou 01 34 38 37 24)
Commissariat de Villiers-le-Bel
(avenue Pierre-Sémard, à proximité de l'Institut des Métiers de l'Artisanat, du collège Saint-Exupéry et de la Maison Jacques-Brel) : 01 34 29 68 00
Poste de police municipale
(4, rue du Pressoir) : 01 34 19 32 07
N° Urgence Sécurité Gaz (GrDF)
0 800 47 33 33 (appel gratuit depuis un poste fixe)
Une odeur de gaz ou manque de gaz.... Contacter sans tarder le Centre d'Appel Sécurité Dépannage Gaz de GrDF au 0800 47 33 33 pour une intervention gratuite dans les plus brefs délais.
Dépannage ErDF
Numéro Azur : 08 10 33 30 93
VEOLIA Eau
(Ligne spéciale urgence fuite) : 0 811 900 918
Aide aux victimes
116 006 - Numéro d'aide aux victimes
(remplace l'ancien numéro Victime 08)
Écoute, informe et conseille les victimes d'infractions ainsi que leurs proches.
Par téléphone
116 006
(appel gratuit)
Ouvert 7 jours sur 7 de 9h à 19h
Le service est également accessible en composant le +33 (0)1 80 52 33 76 (numéro gratuit, appel et service)
Par mail à victimes@france-victimes.fr
Violences faites aux femmes
3919
Les 11 numéros européens accessibles gratuitement en cas d'urgence

Le service de Police Municipale se tient à votre entière disposition pour tous renseignements dans ses locaux situés au 4 rue du Pressoir - par téléphone, au 01 34 19 32 07
Afin d'améliorer les conditions d'accueil du public ainsi que les conditions de travail des agents, la Ville a transféré le poste de police municipale dans des locaux situés 4 rue du Pressoir.
Ces locaux comprennent une salle d'accueil, des bureaux isolés, permettant la confidentialité des entretiens, et des espaces de travail pour les agents. Des places de stationnement ont également été aménagées devant le poste.
Le poste de police est ouvert :
du lundi au vendredi, de 8 h à 20 h, accueil du public de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h,
le samedi de 10 h à 18 h (Ce jour-là, il n'y a pas d'accueil du public, mais les appels téléphoniques sont transférés sur les téléphones portables des policiers municipaux).
Téléphone du poste de police municipale : 01 34 19 32 07
La police municipale : ses missions
La Police Municipale ne peut ni ne doit être confondue avec la Police Nationale, leurs compétences, leurs missions ne sont pas les mêmes.
- Mise en application des arrêtés municipaux,
- Protection de l'environnement,
- Enquêtes administratives : urbanisme, regroupement familial, sanitaire, contrôle d'attestation d'hébergement...
- Différends de voisinage,
- Sécurité festivités : bals, concerts, manifestations sportives, défilés...
- Gestion du stationnement payant, zone bleue, circulation routière
- Patrouille et îlotage,
- Ilotage sur le marché,
- Sécurisation point école
- Sécurité vacances,
- Recensement des épaves et des véhicules en stationnement prolongé qui sont transmis à la Police Nationale qui effectue les enlèvements.
- Prévention, sécurisation des entrées et sorties des collèges
- Recensement des chiens de première et deuxième catégorie
Le service de Police Municipale se tient à votre entière disposition pour tous renseignements.

La police nationale a lancé en juin 2019 un tout nouveau dispositif. L’objectif est de favoriser le dialogue avec les Beauvillésois et de permettre à ceux-ci de faire remonter des informations.
Concrètement, si vous constatez des problématiques de sécurité non urgentes (pour les urgences, il faut toujours composer le 17 ), vous pouvez les faire remonter grâce à une adresse mail dédiée : ddsp95-csp-sarcelles-psq@interieur.gouv.fr
Vous pouvez par exemple informer sur des regroupements en bas d’une résidence, la présence de véhicules épaves, le stationnement d’une moto servant aux rodéos urbains, du tapage diurne ou nocturne régulier, etc.
Cette adresse mail est ouverte à tous. Ni l’adresse mail, ni l’identité des interlocuteurs ne seront communiquées pendant les procédures. En revanche, la police s’engage à vous tenir au courant des interventions effectuées.
Le groupement de gendarmerie du Val d'Oise assure ses missions de protection des personnes et des biens, de police judiciaire et de secours au profit de 139 communes sur les 185 que compte le département (soit 250 741 habitants).
Par ailleurs, le département du Val d'Oise bénéficie dans le cadre de la zonalisation des forces mobiles d'un escadron de gendarmerie mobile en renfort de sécurité générale.
La page Facebook du groupement de gendarmerie départementale du Val d'Oise vous fera mieux connaître les 650 militaires de la gendarmerie qui composent le groupement et assurent leurs missions de protection des personnes et des biens, 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24.
https://www.facebook.com/Gendarmerie-du-Val-dOise-1490261147928896

Vous venez d'être victime d'une infraction : Agression, vol, atteinte à vos biens, accident de la circulation… La loi vous protège et vous donne des droits.
Vos droits
- Vous avez le droit d'être considéré et accueilli dans le respect de votre dignité.
- Vous avez le droit de recevoir tout au long de la procédure toute information nécessaire sur vos droits.
- Vous avez le droit de connaître les institutions et les services auxquels vous pouvez vous adresser et le type d'aide dont vous pouvez bénéficier.
Parallèlement, vous devez accepter le cadre imposé par la loi et apporter une coopération aux autorités policières et judiciaires.
Sachez que dès le début de votre affaire et pendant toute la procédure, vous avez droit à l'intervention gratuite d'une association d'aide aux victimes qui pourra entendre vos difficultés, vous apporter une aide psychologique, vous informer sur vos droits, vous accompagner dans vos démarches et vous orienter si nécessaire vers des services spécialisés.
Déposer une plainte
La plainte peut être déposée où vous le souhaitez mais pour des raisons d'efficacité, il est recommandé de le faire au commissariat du lieu où a eu lieu l'infraction.
Pour conserver votre anonymat, vous avez également la possibilité de vous faire domicilier sur le lieu du dépôt de plainte.
Une fois la plainte déposée, quelles sont les différentes procédures suivies ?
Le dossier est transmis au Procureur de la République qui examine le bien-fondé de votre plainte et décidera de la suite à lui donner. Il dispose de plusieurs procédures.
Selon les cas, il peut mettre en œuvre des mesures alternatives aux poursuites pénales, (médiation pénale, rappel à la loi, régularisation…) engager des poursuites pénales ou classer l'affaire sans suite.
Des solutions selon les situations que vous pouvez rencontrer
Dans tous les cas, il est préférable de prévenir votre assurance car vous pouvez également bénéficier d'une aide juridique.
Prise en charge
Si votre préjudice est physique ou psychologique, après les soins d'urgence, les services de police vous orienteront systématiquement vers un médecin de l'Unité Médico-Judiciaire de Gonesse.
Indemnisation
- Si votre préjudice est matériel, il vous sera demandé de fournir les documents ou factures permettant d'évaluer le montant du dommage que vous avez subi. Un expert pourra être désigné pour compléter l'appréciation de votre dommage, en relation ou non avec votre assureur.
- Si votre préjudice est psychologique, il pourra également, sur les justificatifs que vous fournirez (attestation médicale), être indemnisé.
Soutien et aides auxquels vous avez droit
Si vous avez été choqué(e) psychiquement, vous pouvez avoir recours immédiatement ou dans les jours qui suivent, au soutien d'un psychologue ou d'un psychiatre.
La Maison de la Justice et du Droit de Villiers-le-bel
La MJD accueille des associations, des avocats qui vous soutiendront et vous aideront dans vos démarches initiales, sans frais.
2, rue Pompon - 95400 Villiers-le-bel
Tél. 01 34 19 87 52
La Ville de Villiers-le-bel
Dans le cadre de son Conseil Local de Sécurité et de Prévention de la Délinquance, peut également dans certains cas apporter son concours aux victimes.
Tél. 01 34 29 29 26
Ces informations vous indiquent les démarches à effectuer pour faire valoir vos droits. En tout état de cause, prenez conseil auprès d'un professionnel (avocat) ou de services compétents dont les coordonnées sont communiquées ci-dessous
Numéros de téléphone utiles à Villiers-le-Bel et à proximité
- Maison de la Justice et du Droit
Tél. 01 34 19 87 52
- Centre d'Information Départemental d'Aide Aux Victimes
qui dépend du Centre d'Information des Droits des Femmes et des Familles. Tél. 01 34 41 42 93
- Association Du côté des femmes
Tél. 01 30 11 10 37
Autres numéros nationaux
- Aide aux victimes116 006 : le nouveau numéro d'aide aux victimes
Victimes d'un chauffard, d'une escroquerie sur internet, de propos racistes, de violence... Appelez le 116 006, le nouveau numéro d'aide aux victimes, gratuit et ouvert 7 jours sur 7 de 9h à 19h. Cette porte d'entrée unique pour toutes les victimes, proches et témoins directs remplace l'ancien « 08Victimes ».
Cette plateforme téléphonique s'adresse aux victimes d'infractions (vols, agressions...) mais aussi aux victimes d'accidents de la route, d'événements collectifs, d'attentats ou de catastrophes naturelles. Dans le respect de l'anonymat de l'appelant, ce dispositif écoute et dirige les victimes vers les réseaux associatifs d'aide aux victimes et les services spécialisés.
Le service est également accessible en composant le +33 (0)1 80 52 33 76 (numéro gratuit, appel et service) et par mail à victimes@france-victimes.fr
- Violence conjugale femmes info service
Tél. 01 40 02 02 33 ou 01 40 33 80 60
- Viols femmes informations
Tél. 0800 05 95 95
- Enfance en danger
Tél. 01 30 30 01 01
- Enfants victimes de maltraitance
Tél. 119
- SOS violences scolaires
Tél. 0801 55 55 00
- Personnes âgées victimes
Tél. 0 892 680 118
- Personnes victimes de discriminations
Tél. 114
- Personnes victimes de sectes
Tél. 01 44 92 35 92
- Stop au harcèlement sexuel
Désormais, depuis la loi du 6 août 2012, la loi protège les victimes. Le harcèlement sexuel est une forme de violence. Il commence là où s'arrête le respect de l´autre. C´est un délit puni par la loi. Les sanctions pénales sont élevées afin de dissuader les auteurs potentiels, protéger les victimes et leur permettre de retrouver une part de dignité....
Les violences conjugales sont condamnées par la loi. Vous êtes victimes de violences conjugales, que faire ? Des numéros d’urgences sont accessibles gratuitement 24h/24, 7 jours/7 et des lieux existent pour vous recevoir et vous accompagner.
Composez le 17 et/ou le 3919
Par SMS au 114, si vous avez des difficultés à entendre ou parler, vous pouvez aussi envoyer un SMS au 114. Vous communiquerez alors par écrit avec votre correspondant.
Des lieux à Villiers-le-Bel :
Pour déposer plainte :
- Au Commissariat de Villiers le bel au 45 Av. Pierre Sémard, 95400 Villiers-le-Bel
- Au Commissariat de Sarcelles au 41 Av. du 8 Mai 1945, 95200 Sarcelles
- A la Police Municipale de Villiers le Bel au 4 Rue du Pressoir, 95400 Villiers-le-Bel
Pour les soins et l’accompagnement juridique :
- Le Centre d'Information sur les Droits des Femmes et des Familles Val d'Oise (CIDFF) vous informe, vous oriente et vous accompagne gratuitement et anonymement. Le CIDFF se trouve au 2 rue Pompon, 95400 VILLIERS-LE-BEL. Vous pouvez les joindre par téléphone au 01 34 19 87 52 ou par mail à l’adresse : contact@cidff95.fr
- Consultations des UMJ sans réquisition pour faire constater vos blessures (une demi-journée par semaine) à l’hôpital de Gonesse. Contactez le 01.34.53.27.45.
- Permanence de l’association du côté des femmes tous les jeudis matins à l’hôpital de Gonesse. Vous pouvez joindre l’association au 01 30 73 18 33. Pour plus d’informations : https://www.ducotedesfemmes.asso.fr/
- La Maison de la Justice et du Droit de Villiers-le-Bel vous reçoit au 2 Rue Pompon - 95400 Villiers-Le-Bel Sur rendez-vous du lundi au vendredi de 9h30 à 12h et de 13h30 à 17h. Vous pouvez les joindre au 01 34 19 87 52 ou par mail l’adresse : mjdvillierslebel@roissypaysdefrance.fr
Pour l’accompagnement social et psychologique :
- Le CCAS de Villiers-le-Bel au 20 rue de la République pour les personnes seules ou en couple sans enfants mineurs. Le CCAS est joignable par téléphone au 01.34.29.29.40 et vous accueille du lundi au vendredi de 8h à 12h et de 13h30 à 17h30 (sauf les mardis matin).
- Le service social départemental au 34 avenue Pierre Sémard, 95400 Arnouville pour les personnes seules ou en couple avec enfants mineurs. Le service est joignable par téléphone au 01.34.33.59.70
- Le pôle d’aide aux victimes composé d’une assistante sociale et d’un psychologue vous accueille du lundi au vendredi au Commissariat de Sarcelles au 41 avenue du 8 mai 1945 Sarcelles. L’assistante sociale est joignable au 01 34 38 37 87, le psychologue est joignable au 01 34 38 37 15.
Définition des violences conjugales :
La violence est « un moyen utilisé pour assurer le pouvoir sur l’autre ». Les violences conjugales sont basées sur une relation de domination au sein du couple. Comme toutes les violences, elles sont intentionnelles, et représentent une atteinte au droit fondamental des personnes à vivre en sécurité, une atteinte à leur dignité et à l’intégrité de l’autre.
Les violences conjugales sont un processus au cours duquel un partenaire exerce à l’encontre de l’autre, dans le cadre d’une relation privée et privilégiée, des comportements agressifs, violents et destructeurs. L’emprise et la peur du conjoint enferment la victime dans un conditionnement dont il lui est difficile de sortir sans aide. La violence conjugale entraine des conséquences graves qui peuvent aller jusqu’au décès de la victime.
Les violences conjugales ne sont pas un simple conflit, ni un acte accidentel.
Les violences conjugales peuvent prendre différentes formes :
• Violences verbales : injures, insultes, cris, menaces…
• Violences psychologiques : dénigrement, mépris, humiliations, chantage, pression, harcèlement, contrôle, surveillance, interdictions, isolement de la victime…
• Violences physiques : coups, bousculades, gifles, strangulations, brûlures, séquestrations, mutilations, tentatives de meurtre…
• Violences sexuelles : agressions sexuelles, viol conjugal, pratiques sexuelles imposées, prostitution…
• Violences économiques : interdiction de travailler, privation de ressources, vol de bien et moyens de paiement, contrôle des dépenses, non contribution aux charges, endettement de la victime…
• Violences administratives : confiscation de papiers d’identité, limitation d’accès aux droits, obstacle au renouvellement du titre de séjour…
• Cyberviolences : lynchage, messages insultants, harcèlement indirect, menaces en ligne, usurpation d’identité, « sexting » (publication/propagation de photos sexuellement provocantes ou de textes à caractère explicitement sexuel).
Placées sous l’autorité du Président du Tribunal de Grande Instance de Pontoise et du Procureur de la République, les Maisons de la Justice et du Droit assurent une présence judiciaire de proximité, favorisent l’aide aux victimes, facilitent l’accès au droit et développent des nouveaux modes de traitement judiciaire et pénal de la petite délinquance.
Ces structures dont le personnel et les locaux sont financés par Roissy Pays de France et le Ministère de la Justice apportent à tous les habitants les moyens de se repérer dans les circuits administratifs et judiciaires, d’accéder facilement aux informations juridiques, de bénéficier d’un soutien matériel, moral et juridique immédiat lorsqu’ils sont victimes d’une infraction. Espaces privilégiés d’information et d’assistance aux victimes, les Maisons de la Justice et du Droit proposent des services d’orientation juridique entièrement gratuits et confidentiels.
Les Maisons de la Justice et du Droit regroupent différentes permanences d’information juridique de proximité et d’accueil de professionnels du droit ou d’associations.
A Villiers-le-Bel
2 rue Pompon
Du lundi au vendredi de 9h30 à 12h et de 13h30 à 17h
Tél. : 01 34 19 87 52
Bus RATP : 270, arrêt « La Poste », 268, arrêt « Pierre Sémard »
Le site www.fondsdegarantie.fr a pour mission d’informer et de guider, de manière personnalisée, les victimes et leurs familles dans leurs droits et dans leurs démarches de la phase de constitution de leur dossier de demande à leur indemnisation définitive.
Les internautes sont orientés en fonction de leur situation afin d’obtenir les informations sur leur propre cas et leurs droits à indemnisation. Dans sa rubrique "indemniser les victimes", le Fonds de garantie rappelle ainsi qu’il peut être sollicité dans la vie quotidienne, aussi bien au titre du Fonds de garantie des assurances obligatoires de dommages qu’au titre du Fonds de garantie des victimes d’actes de terrorisme et d’autres infractions.
Les indemnisations que vous pouvez demander avec l'aide du Fonds de Garantie concernent différentes sortes de risques et de dommages :
- Accident de circulation y compris causé par le véhicule d'un tiers non identifié (par exemple en cas de fuite du conducteur) ou non assuré,
- Accident de chasse,
- Collision automobile avec la faune sauvage,
- Dommages aux immeubles causés par une catastrophe technologique ou une activité minière,
- Défaillances d'une entreprise d’assurance,
- Accidents de circulation à l'internationale,
En partenariat avec les acteurs de la prévention et de la sécurité routières, le Fonds de garantie présente par ailleurs sur son site internet ses campagnes de sensibilisation auprès des publics concernés par les risques d’accidents de la circulation.
Quelques Liens
Indemniser les victimes
Fonds de garantie
Accueil > Justice > Victimes et justiciables
Service-public.fr
Aide et informations pour les victimes
Ministère de la justice
L’assurance et vous
Fédération Française de l’Assurances (La FFA, née de la fusion de la FFSA et GEMA est le principal organisme de représentation professionnelle des entreprises d’assurance devant les autorités publiques, mais également devant les consommateurs)
Un dispositif qui permet à une victime d'une atteinte aux biens (telle que vol de téléphone portable, escroquerie ou abus de confiance, dégradations ou destructions de biens privés, etc.) commise par un auteur inconnu d'effectuer une déclaration en ligne, sur le sitewww.pre-plainte-en-ligne.gouv.fr
Contactée sous 24h, la victime obtient un rendez-vous dans le service de police de son choix pour finaliser le procès-verbal.
Les usagers, ayant déjà expérimenté ce dispositif, apprécient dans leur grande majorité ce système qui leur permet une liberté dans le choix de leur rendez-vous et donc un gain de temps considérable.
IMPORTANT : Ce service en ligne ne se substitue en aucun cas à l’appel en temps réel aux services de police : en cas d’urgence, composez le 17 ou le 112.
- Rendez-vous sur le site Internet : www.pre-plainte-en-ligne.gouv.fr

Depuis le 1er septembre 2013, la communauté d’agglomération Roissy Pays de France est chargée de la gestion et de l’exploitation du système de vidéoprotection des espaces publics des communes d’Arnouville, Garges-lès-Gonesse, Sarcelles et Villiers-le-Bel. Près de 170 caméras sont installées à ce jour.
L’objectif attendu du dispositif est de contribuer, en complément des moyens déjà mis en place par la Police Nationale et les communes, à rendre nos rues et nos places plus sûres.
Vidéo-protection : présentation du dispositif
L’objectif attendu du dispositif est de contribuer, en complément des moyens déjà mis en place par la Police Nationale et les communes, à rendre nos rues et nos places plus sûres.
Ce dispositif sera bien entendu utilisé dans le respect des lois et préservera les libertés des citoyens. La Communauté d'Agglomération a élaboré en ce sens une charte d’éthique.
Dès 2008, les communes d’Arnouville, Garges-lès-Gonesse, Sarcelles et Villiers-le-Bel décident de mutualiser leurs moyens pour installer dans les espaces publics des quatre villes un réseau de vidéoprotection. Ensemble, elles œuvrent pour obtenir la desserte du territoire par un réseau de fibre optique nécessaire au fonctionnement du dispositif, acquérir le matériel nécessaire et créer un poste de supervision des images.
La mise en place des caméras
Le déploiement de la fibre optique a commencé durant l’été 2013. Entre septembre 2013 et septembre 2014, les 2/3 des 167 caméras, soit 110 caméras, sont installées sur les 4 communes. Depuis fin 2014, le dispositif est au complet avec 169 caméras.
Parallèlement à l’installation de ce dispositif technique, la Communauté d'Agglomération a mis en place un comité d’éthique de la vidéoprotection, associant notamment des citoyens de chaque commune. Il a pour mission d’assurer une supervision indépendante du système et de veiller à la bonne application de la charte d’éthique.
Les périmètres vidéo-protégés retenus en priorité par les communes sont les lieux et les espaces les plus fréquentés : les abords des établissements scolaires, des établissements publics dont les établissements sportifs, des marchés et des centres commerciaux, des gares, des lieux de retrait d’argent, des lieux de culte, les carrefours routiers et la voie publique, etc.
Premier objectif : la sécurité des personnes et des biens
En matière de sécurité des personnes et des biens, le dispositif de vidéoprotection a un double objectif. Le premier est de dissuader les personnes mal intentionnées de passer à l’acte. Le second est, en cas d’anomalie, d’infraction ou d’agression, d’alerter immédiatement les forces de l’ordre. En cas de délit grave, le travail des officiers de la police judiciaire sera facilité par l’exploitation des images enregistrées.
L’adoption d’un système de vidéoprotection à l’échelle intercommunale permet de mieux combattre la délinquance et la criminalité car celles-ci ne s’arrêtent pas aux limites administratives des communes.
Les autres objectifs
Le dispositif de vidéoprotection sera également utilisé pour réguler le trafic routier. Les opérateurs du centre de supervision signaleront aux forces de police les lieux où la circulation est entravée pour une raison ou une autre (stationnement gênant, accident…).
Il servira également à signaler aux services d’intervention et de secours les situations anormales constatées sur l’espace public (personne en difficulté, incendie, détérioration importante de la voirie, de la signalisation ou mobilier urbain, obstacle…).
Le dispositif de vidéoprotection n’a pas vocation à se substituer à la Police Nationale ou aux policiers municipaux, ni de remplacer la présence nécessaire des policiers dans nos rues. Il s’agit d’un outil supplémentaire pour les forces de l’ordre.
Une convention de partenariat est d’ailleurs en préparation avec la Police Nationale. La vidéoprotection s’intègre aussi dans les instances locales de prévention de la délinquance afin d’améliorer le cadre de vie de tous les habitants.
Charte éthique
Le système de vidéoprotection est soumis aux dispositions légales et réglementaires qui lui sont applicables : la loi « informatique et libertés » n°78-17 du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés et le décret n°96-926 du 17 octobre 1996 relatif à la vidéoprotection.
Le système de vidéoprotection mis en place par Val de France en 2013 s'est assorti d'une charte pour assurer le respect des droits et libertés des personnes.

Vacances sereines
Pour prévenir les cambriolages pendant vos vacances, vous pouvez bénéficier du service de surveillance de votre domicile par les agents de la police municipale. Inscrivez-vous dès à présent. Service gratuit et valable toute l'année.
Pour bénéficier de ce service de surveillance gratuite et efficace de votre domicile en votre absence, signalez vos dates de début et fin de vacances à la Police municipale ou nationale.
Il vous suffit pour cela de remplir la fiche téléchargeable ici et de la remettre aux agents de la Police Municipale une fois complétée.
Vous pourrez également confier une clef aux agents de la Police Municipale pour faire le tour de votre pavillon. Ce dispositif concerne principalement les mois de juillet-août. Néanmoins, la Police Municipale reste à votre disposition toute l’année en cas d'absence prolongée de votre domicile.
Quelques conseils complémentaires :
• Demandez à une personne de confiance de relever régulièrement votre courrier. Une boite pleine attire trop l’attention.
• Ne laissez pas de message sur votre répondeur indiquant les dates de votre absence. Si possible, faites plutôt le transfert de votre ligne téléphonique vers votre lieu de vacances, chez des parents ou amis.
• Évitez de conserver des objets de valeur à domicile, confiez-les à des personnes de confiance. A défaut de pouvoir les mettre en sécurité, pensez à les photographier et relevez les numéros de série pour les recherches en cas de vol et pour votre assurance.
• Vérifiez bien la fermeture des portes et des fenêtres et renforcez la sécurité (alarme, serrures de sûreté, volets au rez-de-chaussée). Dans la majorité des cas, les voleurs entrent par la porte et renoncent rapidement si elle résiste. Comme, ils n’hésitent pas à escalader, songez également à ce que les étages élevés sont eux aussi vulnérables.
• Pour les pavillons, ne laissez rien dans le jardin qui puisse servir d’outil pour pénétrer par effraction (pioche, pelle, échelle…)
• Soyez solidaires entre voisins : intéressez-vous aux allées et venues, ainsi qu’aux « déménagements ».
Le poste de police est ouvert :
- du lundi au vendredi, de 8h à 20h, accueil du public de 9h à 12h et de 14h à 18h,
- le samedi de 10h à 18h (ce jour-là, il n'y a pas d'accueil du public, mais les appels téléphoniques sont transférés sur les téléphones portables des policiers municipaux).
Téléphone du poste de Police Municipale : 01 34 19 32 07
Détecteurs Autonomes Avertisseurs de Fumée (DAAF)
Un arrêté publié le 13 mars 2014 établit que tout lieu d’habitation doit être équipé d’un détecteur autonome avertisseur de fumée (DAAF). Cette mesure vise à réduire les risques d'incendie dans les lieux d'habitation sachant qu'un feu se déclare toutes les 2 minutes en France et qu'entre 600 et 800 personnes perdent la vie chaque année à la suite d’un incendie.
Détecteurs de fumée - mode d’emploi : le guide
Le guide fait le point sur l’obligation d’installer ce dispositif dans les logements, les logements concernés (bâtiments collectifs et maisons individuelles) et le modèle à choisir (norme NF EN 14604).
Vous y trouverez des précisions sur
• l’emplacement à choisir pour fixer le détecteur (dans ou près des chambres ou dans le couloir menant aux chambres, à distance des sources de vapeur ou de fumée comme les salles de bains et les cuisines),
• la position à adopter (au plafond ou, à défaut, en partie haute de la paroi verticale).
Enfin, le guide revient sur les conseils de sécurité à suivre :
• entretien du détecteur (vérification du fonctionnement de l’alarme, remplacement des piles),
• information de l’assureur (attestation à fournir),
• prévention de l’incendie (installation électrique saine, installations de gaz et de chauffage entretenues),
• réflexes à adopter (extinction des cigarettes, des bougies et des appareils de cuisson, non stockage de produits inflammables près des sources de chaleur, sensibilisation des enfants),
• conseils à suivre en cas d’incendie (fermer les portes, ne pas aller dans la fumée, ne pas prendre les ascenseurs, composer le 18 ou le 112).
Vous informer